Les repas copieux et copieux qui ont habituellement lieu pendant les vacances sont un événement agréable, qui n’est cependant pas entièrement bon pour l’estomac et les intestins. En fait, selon unrecherche réalisée par ASSOSALUTEEnviron 40 % des Italiens souffrent de troubles gastro-intestinaux pendant ou après les vacances.
Parmi les maux de la tradition de Noël figurent acidité De estomac, reflux gastro-œsophagien, lourdeur, gonflement ET troubles intestinaux.
Table des matieres
Modifications du régime alimentaire et de la réponse intestinale.
Quand tu changes ton alimentation Même après quelques semaines, l’intestin ne met pas longtemps à réagir et, selon un recherche publiée dans Nature en 2014ces Les changements se reflètent dans la flore bactérienne. Prochainement.
La transition d’un régime végétarien à celui dans lequel prévalent nourriture De Origine animale conduit par exemple à une Mutation rapide des espèces microbiennes qui peuplent l’intestin..
Dans ces cas, la concentration de bactéries qui se nourrissent d’acides biliaires augmente, favorisant la digestion des graisses saturées et l’apparition, au moins chez les rongeurs, toujours selon l’étude, de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.
D’un autre côté, le régime végétarien favorise la croissance de bactéries capables de produire leacide butyriqueun acide gras à chaîne courte qui a Propriétés anti-inflammatoires et protège les cellules du côlon, empêchant ainsi d’éventuelles néoplasmes.
Mais ce qui est intéressant, c’est autre chose. Quels que soient les changements apportés, le retour à l’alimentation initiale redonne à la flore bactérienne intestinale ses caractéristiques d’origine, mettant en évidence les capacité du microbiote s’adapter rapidement aux aliments ingérés pour accumuler de l’énergie.
Les effets des aliments gras sur le corps
Ces aliments peuvent modifier il rythmes physiologiques ET hormonalcause problèmes métaboliques qui modifient la flore bactérienne intestinale.
Les variations au sein de la population microbienne peuvent également affecter laassimilation du nutriments entraînant, dans certains cas, une prise de poids.
L’alcool affecte le bien-être
La consommation de boissons alcoolisées modifie l’équilibre du microbiote ET modifier là perméabilité de la barrière intestinale.
Les alcools favorisent la croissance d’espèces bactériennes qui exercent uneaction proinflammatoiretandis que dans le même temps, il y a une réduction de la concentration de micro-organismes dotés de propriétés anti-inflammatoires.
De nombreuses bactéries finissent par stimuler la production de endotoxinessubstances qui modulent la réponse du système immunitaire et atteignent le corps par la circulation foie provoquant leinflammation.
Repas longs et horaires irréguliers.
Pour rester en forme et se sentir bien, il n’est pas seulement important de savoir choisir ce qu’on met à table. Les repas à des heures irrégulières peuvent modifier Il métabolisme favorisant une augmentation de poids, dyspepsie, reflux gastro-œsophagien et un risque accru de diabète, hypertension ET obésité.
Enfin, il faut faire attention aux crises de boulimie, à la rapidité avec laquelle on mange et à l’habitude de fumer une cigarette entre les plats car la nicotine ralentit la vidange gastrique.
Bien que le microbiote intestinal soit intelligent pour s’adapter aux changements d’horaires, de portions et de types de repas, il est recommandé d’obtenir un Complément à base de ferments lactiques vivants à action probiotique., enzymes et extraits de plantes pour lutter contre les ballonnements résultant d’altérations de l’équilibre de la flore bactérienne intestinale, d’une mauvaise digestion et d’une mauvaise alimentation.
Bibliographie:
- Assosalute News N. 25-Bulletin de l’Association Nationale des Médicaments d’Automédication-Décembre 2019
- David, LA, Maurice, CF, Carmody, RN, Gootenberg, DB, Button, JE, Wolfe, BE, Ling, AV, Devlin, AS, Varma, Y., Fischbach, MA, Biddinger, SB, Dutton, RJ et Turnbaugh, PJ (2014). Le régime alimentaire modifie de manière rapide et reproductible le microbiome intestinal humain. Nature, 505 (7484), 559-563.
- Frazier, K., Kambal, A., Zale, E.A., Pierre, J.F., Hubert, N., Miyoshi, S., Miyoshi, J., Ringus, DL, Harris, D., Yang, K., Carroll, K. . ., Hermanson, JB, Chlystek, JS, Overmyer, KA, Cham, CM, Musch, MW, Coon, JJ, Chang, EB et Leone, VA (2022). Un régime riche en graisses modifie les rythmes REG3γ et microbiens intestinaux, favorisant ainsi le dysfonctionnement métabolique. Microbe et hôte cellulaire, 30(6), 809-823.e6.
- https://www.mauriziotommasini.it/microbiota-alcohol-salute/
- https://www.humanitas.it/news/alimentazione-qual-lora-giusta-mangiare/