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Acouphènes et remèdes contre les bourdonnements aigus dans les oreilles

Les acouphènes, également appelés « acouphènes », sont un trouble de l’oreille qui se manifeste par la perception de sons principalement aigus (semblables à un sifflement, un bourdonnement ou un bourdonnement) en l’absence de source externe. Les remèdes prévus pour le traitement et la gestion des acouphènes. Ils visent à résoudre l’affaire.

Acouphènes, les remèdes les plus populaires

Le son perçu par les patients souffrant d’acouphènes n’est pas produit par une source sonore, mais par une source neuronale qui génère un signal bioélectrique. On peut donc définir ce type d’acouphènes comme une perception auditive « fantôme », où un signal bioélectrique est « identifié » au niveau des voies auditives et du système nerveux et est « identifié » comme un signal sonore. Selon la classification traditionnelle, les acouphènes de ce type sont « subjectifs », puisqu’en l’absence d’une véritable source sonore, il n’est pas possible pour l’examinateur de percevoir ce signal.

La situation est différente lorsque le bruit que le patient entend est en réalité généré par une source physique située à l’intérieur de notre corps, très proche de l’oreille. Ce genre de acouphène Ils sont définis comme « objectifs » : leur bruit est réel, se produit dans ou à proximité de l’oreille, et peut parfois aussi être perçu et enregistré par l’examinateur.

Une autre méthode de classification. acouphène Elle repose sur les caractéristiques du bruit perçu par le patient, à savoir :

  1. acouphènes continus

    Décrit par le patient comme un sifflement, un sifflement, un soupir, un bourdonnement, un rugissement ou de bien d’autres manières, mais toujours avec les caractéristiques d’un bruit continu, non pulsé ou intermittent. Le terme « continu » ne fait pas référence à la persistance ou non des acouphènes ou aux variations de leur intensité, mais plutôt aux caractéristiques acoustiques du bruit perçu. Généralement tel acouphène reconnaître un mécanisme d’apparition « bioélectrique » au niveau du système auditif.

  2. acouphènes pulsatiles

    C’est-à-dire un bruit synchrone avec le rythme cardiaque qui, qu’il soit perceptible ou non par l’examinateur, est toujours l’expression d’un phénomène de type vasculaire (flux sanguin), qui n’est pas nécessairement lié à une pathologie.

  3. Acouphènes vibratoires ou intermittents

    C’est-à-dire une perception sonore spontanée ou provoquée par les mouvements de la mâchoire, la déglutition, la respiration ou autre chose. Cette catégorie comprend les claquements des trompes, les crépitements articulaires, les acouphènes liés à des altérations fonctionnelles de l’articulation temporo-mandibulaire dont les liaisons avec l’oreille sont bien connues, ou encore les spasmes des petits muscles intrinsèques de l’oreille ou de la musculature du palais mou. En tout cas c’est acouphène d’origine « mécanique », bien perçue par le patient et parfois perceptible par l’examinateur lors de la visite.

La gamme est large remèdes proposé d’apporter un bénéfice aux acouphènes d’origine neurosensorielle. Ces thérapies comprennent l’éducation et le conseil des patients, la thérapie cognitivo-comportementale et les thérapies sonores pour les aides auditives. Au-delà de ces approches, nous remèdes Les plantes médicinales et l’acupuncture peuvent être utiles dans le traitement acouphène. Souvent, les acouphènes dépendent d’une cause précise, comme une pathologie organique identifiable, la simple présence de cérumen dans le conduit auditif externe, des maladies de l’oreille moyenne (otosclérose ou dysfonctionnement de la trompe d’Eustache), des pathologies cochléaires (maladie de Ménière), etc. Dans ces cas, remèdes contre les acouphènes Son objectif est d’identifier et de traiter des affections sous-jacentes spécifiques.

Remèdes contre les acouphènes (pas seulement naturels)

Les effets des acouphènes sur la qualité de vie varient considérablement. La plupart des patients se plaignent acouphène pas très strict ; d’autres souffrent d’anxiété, de dépression et de changements extrêmes dans leur vie. Dans ces cas, une identification et une intervention rapides sont nécessaires.

En termes de diagnostic, une évaluation précise du patient souffrant d’acouphènes est une étape fondamentale et en elle-même a également une signification thérapeutique, réussissant souvent à réduire la réaction d’alarme du patient et à rompre l’association entre acouphènes et danger, grâce à la possibilité d’exclure ou de déterminer avec avec certitude toute cause pathologique sous-jacente.

Le processus d’évaluation des acouphènes comporte plusieurs phases. Dans un premier temps, l’anamnèse sert à rechercher – comme pour toute autre pathologie – les caractéristiques du symptôme, le moment de son apparition, les éventuels facteurs associés, la présence concomitante d’une perte auditive, etc. Le protocole de diagnostic se déroule différemment selon le type de perception rapportée, c’est-à-dire selon que l’acouphène semble être d’origine bioélectrique probable (acouphène subjectif), ou s’il présente des caractéristiques pulsatoires ou vibratoires qui éveillent la suspicion. une origine vasculaire ou mécanique et une source efficace de son endo-auriculaire ou péri-auriculaire.

Pour les acouphènes, il n’existe pas de remède miracle capable d’annuler le trouble immédiatement et sans effort, mais la TRT (Tinnitus Retraining Therapy) apporte une aide réelle et efficace à ceux qui souffrent d’acouphènes en réduisant la perception du trouble. Cette thérapie s’appuie sur le modèle neurophysiologique conçu et développé par Pawel J. Jastreboff selon lequel tous les signaux présents dans les voies auditives sont soumis à un filtre avant d’atteindre l’état de conscience.

Les réseaux de neurones responsables du filtre sont situés dans les centres nerveux du système limbique et se comportent comme de véritables filtres de sons, qu’ils soient générés de manière externe ou interne. Ainsi, la TRT n’agit pas sur la « source » ou la « cause », mais vise plutôt à « déconnecter » la réaction autonome qui intensifie et entretient la perception des acouphènes, de la source elle-même (Réaction Habituation, ou « adaptation de la réaction »). ), créant de véritables changements structurels au niveau du système nerveux, possibles grâce à la plasticité du système nerveux lui-même et donc, grâce à la perte du « sens » du signal, une réelle absence de perception des acouphènes (Habituation Perception).

L’étape fondamentale de la TRT, sans laquelle aucun résultat durable ne peut être obtenu, est représentée par la « démystification » précise des acouphènes, démontrant sans équivoque au patient l’absence d’un état pathologique sous-jacent potentiellement dangereux, sur la base du diagnostic. évaluation effectuée et, en même temps, que les acouphènes ne sont pas un phénomène irréversible.

Il est important de noter que la TRT n’est pas une psychothérapie, puisqu’elle n’intervient en aucune manière sur les processus psychologiques généraux ni sur les réactions émotionnelles ou génériques du patient, mais modifie seulement la chaîne d’événements spécifiques qui sous-tendent la perception des acouphènes. et la détermination de la gêne.

L’autre élément fondamental du TRT est la réduction de l’intensité de la perception subjective des acouphènes, obtenue en rivalisant avec le bruit ambiant ou par l’administration continue d’une quantité supplémentaire minimale de bruit externe. La première règle pour un patient avec acouphène Il s’agit donc d’éviter rigoureusement le silence absolu, qui priverait la perception des acouphènes de toute compétence.

En pratique, le TRT consiste en une stimulation sonore à l’aide d’appareils spécifiques capables de délivrer du bruit ambiant dans différentes situations, comme des générateurs de bruit blanc portables (« générateurs de sons »), des haut-parleurs d’ambiance (« machines à sons »), et même des oreillers amplifiés. soins (« oreillers sonores »). Les générateurs de bruit « portables », structurellement similaires aux petites aides auditives, représentent la meilleure solution dans la plupart des cas. Il est essentiel que, même en cas d’acouphènes unilatéraux, le signal parvienne au cerveau sans localisation spatiale précise (effet surround), pour garantir le naturel du signal lui-même et une action efficace au niveau des voies auditives centrales.

Il existe différents modèles de générateurs de bruit portables (appelés aussi « mixeurs ») selon la fonction qu’ils remplissent. Pour être adaptés aux besoins du TRT, les générateurs ne doivent en aucun cas obstruer le conduit auditif, ce qui réduirait la perception des bruits environnementaux qui proviennent normalement de l’extérieur, augmentant l’intensité subjective des acouphènes et réduisant la capacité auditive, ce qui ne se produira pas du tout. lorsque le conduit est laissé ouvert ; Il doit être pratique, facile à porter et à enlever, bien stabilisé et non perçu comme une présence physique par le patient, pour éviter que son attention ne soit volontairement attirée vers l’oreille.

La meilleure solution réside dans les dispositifs contours d’oreille, semblables aux petites aides auditives placées derrière et au-dessus de l’oreille. Un petit tube transparent est relié au générateur par lequel le bruit (très faible intensité) est envoyé jusqu’à l’oreille. Le tube est ancré à l’ouverture externe du conduit auditif au travers d’un moule en plastique (strictement ouvert et non occlusif), parfaitement adapté à la conformation physique de l’oreille du patient, à partir duquel l’audiologiste prend à cet effet une empreinte. Le « mixeur » doit être porté toute la journée et retiré uniquement en cas de besoins particuliers ou au coucher le soir.

Cependant, il est bon de souligner que l’application de mélangeurs n’est pas toujours indispensable et que de nombreux patients présentant des situations plus légères ou acouphène Perçus uniquement dans le silence ou la relaxation, ils peuvent se limiter à utiliser d’autres dispositifs tels que des générateurs environnementaux (machines sonores), capables de diffuser un bruit de contraste homogène dans l’environnement pour éviter un silence absolu, ou des CD spécialement fabriqués avec un bruit ambiant adéquat et sans sens. arrière-plan (par exemple pluie, eau courante, bruit blanc ou associations entre divers éléments acoustiques). Un dispositif particulièrement utile pour poursuivre le traitement même pendant le sommeil et faciliter le sommeil sont les soi-disant « oreillers pour acouphènes » ou oreillers spéciaux modifiés, qui contiennent deux microdiffuseurs acoustiques à l’intérieur desquels un lecteur CD peut être connecté. .

Enfin, en cas d’acouphènes plus légers, d’apparition récente, ou avec une réaction d’alarme réduite et des interférences minimes, et en l’absence de pathologies psychiatriques, l’essentiel du résultat ne peut être obtenu que par un dialogue entre médecin et patient (“counseling”). . .

Un remède contre les acouphènes

D’autres remèdes pour contrôler les acouphènes se concentrent sur la nutrition et le mode de vie en général. Par conséquent, soyez prudent lorsque vous consommez des produits laitiers qui peuvent nuire à la santé du mucus de votre corps. Évitez les boissons alcoolisées qui pourraient s’accumuler dans les liquides auriculaires et oxyder les cellules ciliées de l’oreille interne.

Préférez le dîner et, en général, les repas légers qui ne nécessitent pas d’effort excessif pour le système digestif et ne compromettent pas la qualité du sommeil. Vous devez également éviter toute consommation excessive de caféine ou de boissons qui en contiennent en grande quantité. Enfin, c’est également une bonne idée de vérifier toute allergie ou intolérance alimentaire.

Parmi les remèdes naturels indiqués dans la prise en charge de acouphène par exemple, les thérapies qui impliquent l’administration dosée et contrôlée de mélatonine. Prendre du zinc sous forme de suppléments peut également soulager les problèmes d’acouphènes.

Sources:

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